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Conocurs 2018 version contemporaine numéro1

3 participants

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version - Conocurs 2018 version contemporaine numéro1 Empty Conocurs 2018 version contemporaine numéro1

Message par Admin Lun 27 Nov - 19:35

Toujours sana ordinateur, je me contente de vous donner un texte de version qui était tombé au CAPES il y a une dizaine d’années.  J’espère que les choses pourront reprendre bientôt `un rythme plus normal.


Pescados mensajeros

Poco hay que reseñar en los años que siguieron, que fueron plácidos y un tanto aburridos. Isabelita se criaba que daba gloria verla, tan robusta como una criatura del campo y sin los dengues y pejigueras de las niñas de ciudad, muchas veces flor de estufa: Era colorada, vivaracha y saludable, y con dos añitos, aún lactante, ya correteaba y parloteaba por toda la casa, encantando a todos. No se podría decir quien la quería mas: si don Federico, que como padre tardío la consentía demasiado; doña Leonor, siempre madraza, o la propia Paquita que se convirtió en ama seca de la niña, quedando la criada vieja al cuidado de las tareas domésticas.

Tres años tenía la niña cuando se produjo el acontecimiento más señalado de los últimos tiempos. La marcha de Paquita camino de la Maragatería leonesa.

Era el caso que Bermudo Geijo, el pescadero proveedor de aquella real casa, trajo de su tierra un medio sobrino suyo, muchacho sencillo, honrado y cabal, al cual no acababan de probar los usos de la vida ciudadana. Comenzó el muchacho, que por paradoja se llamaba Urbano, a ayudar a su tío en el reparto de la mercancía, con frecuencia iba a casa de los Zapata, que se preciaban de comer buen pescado los viernes y aun algunos otros días de entresemana. Fue así como conoció a Paquita, que a veces le atendía y le daba palique, y por esta extraña via se convirtieron en mensajeros del amor no las calandrias y los ruiseñores que reza una canción del pueblo sino los besugos, las merluzas y los salmonetes, animales quizás no tan poéticos pero de mucha más sustancia. Por el mes era de mayo, cuando hace el calor, cuando el Urbano y la Paquita comenzaron a festejar. Su amor había nacido con los besugos y se afirmaba con las sardinas.

Mucho platicaron los novios acerca de su pasado, su presente y su futuro, como suele ser habitual entre novios de toda condición Resulto que al Urbano no le gustaba ni poco ni mucho Madrid, y que la vida de la ciudad, tan envidiada por muchos de sus coterráneos, parecíale al muchacho  de mucho ruido y pocas nueces, mucha apariencia y poca consistencia, él prefería volverse a su tierra, al pueblo de Val de San Lorenzo, de donde era natural, a cultivar las tierras pobres pero honradas de la familia.

Paloma DIAZ MAS, El sueño de Venecia, 1992

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version - Conocurs 2018 version contemporaine numéro1 Empty Re: Conocurs 2018 version contemporaine numéro1

Message par Admin Lun 22 Jan - 18:00

Trop pris ces derniers jours pour proposer un corrigé détaillé de la version, d’autant que presque personne n’intervient plus dans le forum et que je me demande si tout cela est bien utile. Mais vu que les écrits de l’agrégation interne sont pour très bientôt, voici une traduction possible du texte au cas où quelqu’un voudrait y jeter un coup d’œil.

Peu de choses méritent d’être relevées durant les années qui suivirent, lesquelles furent paisibles et quelque peu ennuyeuses : Isabelita grandissait – c’était un plaisir de la voir ! –, elle était aussi robuste qu’une enfant de la campagne sans faire la délicate ni souffrir de petits malaises comme les fillettes de la ville, qui sont le plus souvent, des fleurs de serre. Elle avait des couleurs, de la vivacité, une belle santé et, à deux ans, à peine, elle trottinait et babillait déjà dans toute la maison, ravissant tout le monde. Impossible de dire qui la chérissait le plus : si c’était don Federico qui, devenu père sur le tard, montrait trop d’indulgence à son égard, doña Leonor, toujours maman-gâteau ou Paquita elle-même, qui devint la nourrice sèche de l’enfant, la vieille servante se trouvant chargée des travaux domestiques.

La petite avait tout juste trois ans quand se produisit l’événement le plus marquant de ces derniers temps : le départ de Paquita pour la Maragateria leonaise.

Il advint en effet que Bermudo Grajo, le marchand de poisson, pourvoyeur de cette majestueuse maison, ramena de chez lui un vague neveu, un garçon simple, honnête et droit à qui les usages de la ville ne réussissaient décidément pas. Le jeune homme, qui paradoxalement s’appelait Urbain, commença à aider son oncle à livrer la marchandise ; il allait fréquemment chez les Zapata qui se piquaient de manger du bon poisson le vendredi et même certains autres jours de la semaine. C’est ainsi qu’il fit la connaissance de Paquita qui parfois le recevait et lui faisait la causette ; c’est de cette façon que devinrent messagers d’amour non point les gentilles alouettes et les gais rossignols des chansons populaires, mais les daurades, les colins et les rougets, des créatures peut-être moins poétiques mais autrement substantielles. Á la chaleur du mois de mai, quand chacun fait ce qu’il lui plait, l’Urbain et la Paquita commencèrent à se fréquenter : leur amour était né avec les daurades, il s’affermissait avec les sardines.

Les fiancés s’entretinrent longuement de leur passé, leur présent et leur futur comme il est coutume entre les fiancés de toute condition. Il s’avéra que l’Urbain n’aimait Madrid ni peu ni prou et que la vie en ville, si enviée par nombre de ses compatriotes, c’était aux yeux du jeune homme beaucoup de bruit pour rien, beaucoup d’apparence et peu de consistance : lui préférait revenir au pays, au village de Val de San Lorenzo d’où il était originaire pour y cultiver les terres pauvres mais qui étaient l’honneur de sa famille.

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Message par Bigoudaine33 Lun 29 Jan - 10:20

JE NE CONNAISSAIS PAS LE FOROACTIVO. JE VIENS DE M'Y INSCRIRE. CAR MALHEUREUSEMENT, JE PENSE QUE JE VAIS DEVOIR REPASSER LES ÉCRITS L'AN PROCHAIN! DONC MERCI POUR CE FORUM. J’ESPÈRE QU'IL CONTINUERA. .POUR MON CAS, JE VAIS CONTINUER A BOSSER MATUTE ET LA CIVI ESPAGNOLE POUR L'AN PROCHAIN, LA SESSION DE 2019. JE VAIS CONTINUER AUSSI VERSION ET THÈME, ET APPROFONDIR MON TRAVAIL POUR LES FAITS DE LANGUE.

MERCI POUR VOTRE TRAVAIL ET VOTRE AIDE!

Bigoudaine33

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version - Conocurs 2018 version contemporaine numéro1 Empty Re: Conocurs 2018 version contemporaine numéro1

Message par Jeanco Mar 30 Jan - 2:58

Hola, yo descubrí este foro durante las vacaciones de Navidad (un poco tarde para ser un miembro activo). Pero me pareció genial. Hice 4 versions que luego contrasté con las correcciones propuestas y aprendí mucho porque son muy detalladas. Vi los enlaces a los bilans de choix de traduction y me leí unos cuantos: justo el de l’emphase... que luego cayó en l’agrèg interne. Gracias!! Fue un pequeño golpe de suerte que aún mantiene vivas mis esperanzas de seguir adelante (con Vallejo logré completar una disert formalmente correcta, aunque sin muchas referencias precisas. Pero con Vallejo es casi imposible saber si se ha acertado o se está completamente fuera de onda). En fin, que muchas gracias al Admin (supongo que Pedro Cordoba) por todo este trabajo.

Jeanco

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